Les filles mères
Les jeunes filles sont
celles par accident ou par viole ont eu des grossesses souvent précoces. Elles
passent les neuf (9) mois de leur grossesses dans condition très difficile et
souvent même dans la rue, nombreux sont celles qui sont dans la rue, victimes à
un avortement non adéquate.
Elles passent les neuf
(9) de leurs grossesses sans aucune assistance sociale, médicale ou sanitaire. La
majorité accouche, elles mettent leurs bébés à la maison ou dans la rue sans
aucune assistance de personne qualifiée. Ces souffrances n’est qu’un début de
calvaire pour eux. Elles sont vues comme des damnés de la société.
Rejeter parce qu’elles
ont un bébé, aucune employeuses ne veut d’elles. Elles ne peuvent n’ont plus
retourné au village avec l’enfant car la condamnation est fatal. La majorité
des parents préfèrent une fille mort que
la voir avec un enfant qui pour eux est un déshonneur.
Cette situation leur
donne une peine pour leur vie et celle
de l’enfant. Elles ont de problèmes à se nourrir. Raison pour laquelle la
majorité sont exposés à la malnutrition et aux maladies. Elles sont en majorité
poussées à l’infanticide dû à la condition précaire de vie, à la condamnation
et au rejet des parents.
Il faut trouver une
solution ?
Pour qu’elles ne restent
pas seules avec ce fardeau de la vie et de songe intérieur. Elles sont
accueillies au centre de l’ADDAD pour bénéficier de la campagne engagée par
l’ADDAD –mali pour leur causes.
« Cette campagne
est une vaste sensibilisation auprès des employeuses et des parents sur les
difficultés des filles en cas de grossesses et leur participation à la résolution »
« Humain du monde,
participer à adoucir à la souffrance d’un être pour sauver une autre vie est
humain »
Voir ses groupes de
filles avec leur enfants au centre d’accueillir de l’ADDAD chacun de vous peut
être une solution pour elles.
"Nous aussi nous avons des droits!
"Nous aussi nous avons des droits!
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